"LA MAFIA MEDICALE"... extraits

Publié le par van-et-ly

 

Bonjour,

 

Voici quelques extraits d'un excellent ouvrage, LA MAFIA MEDICALE, écrit par Ghislaine Lanctôt, médecin canadien, privée depuis de l'autorisation d'exercer...

Celles et ceux qui me suivent depuis quelques temps savent que trader ne veut pas dire adhérer à un système corrompu, se servir des autres et croire aux sornettes des médias, tous ou presque à la solde de quelques "familles" qui asservissent l'Humanité toute entière en nous illusionnant sur nos supposées libertés dans des semblants de démocratie...

Voici donc quelques extraits de ce livre que je vous conseille de lire ou d'acheter :

 
700.000 Américains meurent chaque année des effets secondaires des médicaments. Le tiers des hospitalisations sont dues aux effets nocifs des médicaments aux USA .  


De 1910 à 1925, grâce aux règles établies dans le « Rapport Flexner », l’Association Médicale Américaine et l’Association des Collèges Américain de Médecine éliminèrent la grande majorité des soignants médicaux, notamment les femmes et les noirs. Au nom de la science et de la qualité de la pratique de la médecine, l’on exigea des écoles de médecine qu’elles adoptent les recommandations du « Rapport Flexner ». C’est le régime de la terreur médicale. Elles devaient prendre le virage «scientifique», imposé par ce dernier et financé par la fondation Rockefeller, sous peine de disparition.

En 1977, la Déclaration d’Alma Ata donnait à l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) le moyen d’étendre le « Rapport Flexner », non plus seulement à l’Amérique du Nord, mais au monde entier. L’on déplaça ainsi le contrôle de la santé des mains des gouvernements nationaux vers le gouvernement mondial. On déposséda les pays de leur souveraineté, en matière médicale et on la transféra à un gouvernement mondial, non élu, dont le ministère de la santé est l’OMS. Mais qui est donc à la tête de l’OMS ? Nul autre que nos financiers mondiaux et les responsables du « Rapport Flexner » (Rockefeller et les industries pharmaceutiques). Et que signifie le droit à la santé ? Il signifie le droit à la médicalisation. C’est la porte grande ouverte à la médecine de maladie mondiale, qu’on le veuille ou non. Ainsi, on impose les vaccinations et les médicaments à toutes les populations du globe.

La médecine scientifique fait disparaître le symptôme et le signe, c’est-à-dire la manifestation dans le corps physique de la maladie. Elle ne guérit pas. Elle ne fait que couper la pointe de l’iceberg. Elle donne l’illusion de la guérison. »
Prenons, par exemple, le mal de tête. Le symptôme qui amène le patient à consulter est sa douleur. Si on lui donne un médicament pour le soulager, la douleur disparaîtra, mais le mal réapparaîtra dès que l’effet du médicament sera dissipé. Comme on n’a pas remédié à la cause du mal, ce dernier reviendra de plus en plus fort et de plus en plus fréquemment.
Contrairement à la médecine allopathique qui soigne la maladie, les médecines douces soignent le malade. Elles connaissent l’importance du terrain (état de santé général) et pratiquent une médecine de renforcement des défenses. Leur but est de nettoyer et d’assainir le terrain du patient de façon à ce qu’il puisse se défendre contre tout agent nuisible.
La peur paralyse la conscience. Elle rend aveugle et impuissant. Or la peur augmente continuellement dans notre société avec la criminalité, les pertes d’emploi, les faillites, la récession, la maladie, les guerres, etc. La peur est le véhicule de la maladie. 
La composition de la mafia médicale : le père c’est le parrain, c’est l’industrie. C’est le pourvoyeur et le décideur. Le gouvernement c’est la mère, elle est responsable de la maison. Elle établit les règlements et s’assure que les devoirs sont faits. Tout le monde la prend pour une sainte, alors qu’elle obéit au parrain et sert ses intérêts. Ils ont des enfants: le comptable qui perçoit l’argent et le dirige vers le parrain. Le juge: il maintient l’autorité et les privilèges du parrain. Le syndicat: il assure la soumission des employés au parrain. La mafia a aussi des personnes de confiance. L’informateur assure la soumission par la douceur. Il contrôle l’information, les congrès, les cours, les publications scientifiques, la publicité, etc. Le policier: assure la soumission par la force, pour mater les cerveaux rebelles, c’est le complément de l’informateur. Les complices: le médecin, le fonctionnaire, le scientifique.
Pourquoi la mafia jouit-elle de la protection des puissants, des autorités financières, politiques, religieuses ? C’est parce que le gouvernement est aussi une mafia. Le tandem mafia-gouvernement est vieux comme le monde. Le premier veut l’argent, le deuxième veut le pouvoir.
En démocratie, nous sommes persuadés que nous détenons le pouvoir décisionnel, via le suffrage universel. Avons-nous réfléchi à ce que représente la démocratie dans laquelle nous vivons ? Elle consiste à mettre un X tous les cinq ans à côté d’un des noms déjà choisis par les autorités établies. C’est cela vivre en pays démocratique! Il serait temps de constater le résultat de ce régime: guerres, famines, maladies et pauvreté en conséquence de l’exploitation et la domination de la majorité par la minorité.
Le couple multinationale-gouvernement est la pierre angulaire de toute mafia.
Ce même partenariat industrie-gouvernement se retrouve à l’échelle mondiale. Il est le produit du gouvernement mondial : l’Onu. Le parrain mondial c’est le financier mondial qui investit dans tous les domaines pour faire des profits. Son slogan est le suivant : «plus il y a de patients, plus ils sont malades souvent, plus ils sont malades longtemps, plus c’est payant» Pour le concrétiser plus rapidement, il empoisonne les aliments (agro-alimentaire) et pollue la terre, l’eau et l’air (industries chimiques).
L’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé) est le ministère mondial de la santé. Elle est mariée aux financiers mondiaux. Son allégeance lui est entière et exclusive. Comme toute bonne mère, elle passe pour une bonne personne, soucieuse du bien-être de tous. Elle donne l’impression d’être au-dessus des mesquineries et étroitesse des gouvernements nationaux. Elle soutient les médecines douces. Mais la «santé pour tous», version OMS implique médicalisation et vaccination pour tous. C’est-à-dire la maladie pour tous.
«La concurrence est un péché» - John Davison Rockefeller
Les personnes ne sont plus des êtres vivants avec des sentiments, mais plutôt une marchandise à exploiter :
En 1905, le taux de mortalité due à la variole s’élevait aux Philippines, à 10 %. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement 25 % de la population dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidémie tua 54 % des personnes, alors que la population était vaccinée à 95 %. L’Île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée: 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccination antivariolique continua et l’OMS lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans.
« Vacciner c’est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle. »
Les autorités détiennent l’information, mais elles la verrouillent. Il leur faudra 45 ans avant de divulguer la contamination de 175 000 à 600 000 soldats américains par l’hépatite B, dont le virus était présent dans le vaccin contre la fièvre jaune.
Au États-Unis, 20 % des enfants souffrent de «désordre du développement» consécutif aux encéphalites causées par les vaccins. D’où le bouleversement du système d’éducation, incapable de scolariser un tel nombre d’enfants qui ne peuvent ni lire, ni écrire. D’où, en partie, une vague de violence sociale et de crimes perpétrés par des personnalités sociopathes créées par les vaccins. D’où l’usage explosif du Ritalin sur les enfants. On les drogue, tout simplement.
En 1973, des chercheurs démontrèrent que les taux de tumeurs cérébrales étaient treize fois plus élevés chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur grossesse.
Sachons que 45 % des fonds de l’Unicef sont affectés à la vaccination des pays du tiers-monde, tandis que seulement 17 % sont consacrés à l’eau et à l’assainissement. Les enfants du tiers-monde ont besoin d’eau propre et de nourriture et non d’agents agressifs qui les font mourir comme des mouches.
Les commanditaires de la conférence d’Alma Ata étaient les suivants : la Fondation Rockefeller, la Banque Mondiale et l’Unicef. Les financiers du monde sponsorisant la santé du monde, quelle générosité…
En 1989, pour imposer aux enfants les programmes de vaccination et vaincre les résistances et les oppositions d’adultes récalcitrants, sainte OMS va chercher des outils contraignants. Toujours pour le bien des enfants évidemment, elle fait adopter par l’Onu, la Convention des Droits de l’Enfant : 
- Établit la notion de citoyenneté de l’enfant. 
- Remplace le droit d’autorité des parents par un devoir d’obéissance aux autorités administratives.
- Autorise les autorités à séparer un enfant de parents négligents.
Cette convention permet aux autorités d’imposer par la force, contre le gré des parents :
- Les vaccins aux opposants à la vaccination.
- La médecine «scientifique» aux adeptes de la médecine douce.
- Les traitements médicamenteux sévères à ceux qui les refusent (tel l’AZT pour le Sida, ou la chimiothérapie pour les cancers, par exemple).
Ce ne sont ni les parents, ni les parents, ni les enfants, ni les patients, ni les médecins, ni les autorités de notre pays qui contrôlent notre santé, mais bien les financiers mondiaux, cachés derrière la toute vénérée et respectée sainte OMS.
Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d’État des États-Unis qui ordonna les bombardements massifs du Vietnam: " Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie "
Au cours du procès intenté à la CIA, le Dr Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo au Zaïre pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Le Dr Gotlieb a été nommé à la tête du National Cancer Institute.
Le vaccin de l’hépatite B est fabriqué par manipulation génétique : il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu’il inocule dans l’organisme des cellules étrangères à son code génétique. Ce vaccin, produit à partir de virus cultivé sur des ovaires de hamster chinois, est réputé pour occasionner de la fibromyalgie et la sclérose en plaques. Malgré cela, il jouit d’une grande popularité auprès des autorités, qui l’imposent d’abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population (ndlr: en Afrique). »
En 1978, l’on procéda aux essais d’un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980 sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce «nouveau vaccin», officiellement contre l’hépatite B, causa la mort par sida de plusieurs d’entre eux, comme nous le savons maintenant. Le programme de vaccination des homosexuels contre l’hépatite B était commandé par l’OMS et le National Institut of Health. »
Non contentes de nous avoir inculqué la croyance selon laquelle les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvu de fondement: les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l’establishment) démontrent que la régression des grandes maladies est due à l’amélioration des conditions de vie, et notamment l’hygiène. »
En 1934, Royal Rife et un groupe de médecins, sous les auspices de l’Université de Southern California, ont exposé leurs succès cliniques: ils parvenaient à détruire les micro-organismes du cancer, au moyen d’une longueur d’onde électromagnétique précise. Pendant les années qui suivirent, la technique de traitement du cancer par ondes électromagnétiques se répandit. Plusieurs médecins l’utilisèrent avec succès, mais pas longtemps… Lorsque Morris Fishbein, directeur de l’American Medical Association entendit parler du traitement du cancer, il exigea qu’on lui cède les intérêts dans l’entreprise, ce qui lui fut refusé. Les conséquences d’un tel refus ne se firent pas attendre. Les médecins furent forcés d’abandonner la nouvelle technique. Dans les revues médicales tous les articles consacrés à ce traitement furent interdits par l’AMA. »
Il existe deux positions diamétralement opposées au sein du corps médical. L’une défendue par la médecine de maladie (ndrl: Pasteur) prétend que c’est un agent unique qui fait apparaître la maladie. L’agent est un ennemi extérieur à l’organisme. Il nous agresse et menace notre santé. C’est la théorie du microbe. En cas de maladie, cette théorie part à la recherche de l’agent extérieur ennemi et lui fait la guerre.
L’autre défendue par la médecine de santé (ndlr: Béchamp) affirme que c’est l’organisme lui-même qui fabrique à l’intérieur de la cellule, les agents variés qui font apparaître la maladie. L’agent est un ami intérieur à l’organisme. Il tend à rétablir l’équilibre de notre système écologique. Si son milieu naturel est perturbé, alors il devient morbide et la maladie apparaît. Si l’on rétablit son milieu naturel, il revient à son état normal et la maladie disparaît automatiquement. »
La décision de maintenir la médecine pasteurienne est prise à l’échelle mondiale, par l’OMS. Pour dominer le monde, il faut maintenir la soumission. Appliquer la théorie de Pasteur maintient une pratique de médecine de maladie et entretient chez nous des sentiments:
  • d’impuissance vis-à-vis des forces extérieures
  • de dépendance vis-à-vis des autorités extérieures
  • de victimisation par rapport à des gens et des événements extérieurs à nous.

Ils sont nombreux les partisans de Béchamp. L’histoire en a connu plusieurs, qui ont tenté de faire valoir sa théorie. Ils ont tous été condamnés au silence, soit par la persuasion, soit par la force.

L’employeur est celui qui paie le salaire de quelqu’un, directement ou indirectement. Le patient fait vivre le système médical. Il est l’employeur. Le médecin ou le thérapeute est l’employé. Nous sommes l’employeur des autorités médicales et politiques.
Notre employé :
  • Décide sans nous consulter,
  • Dépense sans compter,
  • Nous vole notre argent contre notre volonté,
  • Fait des lois pour nous contrôler,
  • Installe des systèmes électroniques pour nous surveiller,
  • Paie des juges pour nous condamner,
  • Paie des policiers pour nous cueillir,
  • Paie des soldats pour nous mater,
  • Vote son propre salaire, ses augmentations et sa pension.
Et tout cela avec notre propre argent. Jamais nous ne tolérerions pareil désordre dans notre entreprise. C’est cependant ce que nous faisons pour une entreprise plus grande : la santé et la société.
Capitalisme, socialisme, communisme, islamisme, libéralisme sont tous des régimes identiques. Seule l’étiquette varie. Tous ces régimes ont un dénominateur commun: le contrôle de la majorité par une minorité. Le pouvoir entre les mains d’une bande de privilégiés qui font passer les lois nécessaires au maintien de leurs privilèges.
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Publié dans Général

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