En 1989, pour imposer aux enfants les programmes de vaccination et vaincre les résistances et les oppositions d’adultes récalcitrants, sainte OMS va chercher des outils contraignants. Toujours pour le bien des enfants évidemment, elle fait adopter par l’Onu, la Convention des Droits de l’Enfant :
- Établit la notion de citoyenneté de l’enfant.
- Remplace le droit d’autorité des parents par un devoir d’obéissance aux autorités administratives.
- Autorise les autorités à séparer un enfant de parents négligents.
Cette convention permet aux autorités d’imposer par la force, contre le gré des parents :
- Les vaccins aux opposants à la vaccination.
- La médecine «scientifique» aux adeptes de la médecine douce.
- Les traitements médicamenteux sévères à ceux qui les refusent (tel l’AZT pour le Sida, ou la chimiothérapie pour les cancers, par exemple).
Ce ne sont ni les parents, ni les parents, ni les enfants, ni les patients, ni les médecins, ni les autorités de notre pays qui contrôlent notre santé, mais bien les financiers mondiaux, cachés derrière la toute vénérée et respectée sainte OMS.
Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d’État des États-Unis qui ordonna les bombardements massifs du Vietnam: " Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie "
Au cours du procès intenté à la CIA, le Dr Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo au Zaïre pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Le Dr Gotlieb a été nommé à la tête du National Cancer Institute.
Le vaccin de l’hépatite B est fabriqué par manipulation génétique : il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu’il inocule dans l’organisme des cellules étrangères à son code génétique. Ce vaccin, produit à partir de virus cultivé sur des ovaires de hamster chinois, est réputé pour occasionner de la fibromyalgie et la sclérose en plaques. Malgré cela, il jouit d’une grande popularité auprès des autorités, qui l’imposent d’abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population (ndlr: en Afrique). »
En 1978, l’on procéda aux essais d’un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980 sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce «nouveau vaccin», officiellement contre l’hépatite B, causa la mort par sida de plusieurs d’entre eux, comme nous le savons maintenant. Le programme de vaccination des homosexuels contre l’hépatite B était commandé par l’OMS et le National Institut of Health. »
Non contentes de nous avoir inculqué la croyance selon laquelle les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvu de fondement: les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l’establishment) démontrent que la régression des grandes maladies est due à l’amélioration des conditions de vie, et notamment l’hygiène. »
En 1934, Royal Rife et un groupe de médecins, sous les auspices de l’Université de Southern California, ont exposé leurs succès cliniques: ils parvenaient à détruire les micro-organismes du cancer, au moyen d’une longueur d’onde électromagnétique précise. Pendant les années qui suivirent, la technique de traitement du cancer par ondes électromagnétiques se répandit. Plusieurs médecins l’utilisèrent avec succès, mais pas longtemps… Lorsque Morris Fishbein, directeur de l’American Medical Association entendit parler du traitement du cancer, il exigea qu’on lui cède les intérêts dans l’entreprise, ce qui lui fut refusé. Les conséquences d’un tel refus ne se firent pas attendre. Les médecins furent forcés d’abandonner la nouvelle technique. Dans les revues médicales tous les articles consacrés à ce traitement furent interdits par l’AMA. »
Il existe deux positions diamétralement opposées au sein du corps médical. L’une défendue par la médecine de maladie (ndrl: Pasteur) prétend que c’est un agent unique qui fait apparaître la maladie. L’agent est un ennemi extérieur à l’organisme. Il nous agresse et menace notre santé. C’est la théorie du microbe. En cas de maladie, cette théorie part à la recherche de l’agent extérieur ennemi et lui fait la guerre.
L’autre défendue par la médecine de santé (ndlr: Béchamp) affirme que c’est l’organisme lui-même qui fabrique à l’intérieur de la cellule, les agents variés qui font apparaître la maladie. L’agent est un ami intérieur à l’organisme. Il tend à rétablir l’équilibre de notre système écologique. Si son milieu naturel est perturbé, alors il devient morbide et la maladie apparaît. Si l’on rétablit son milieu naturel, il revient à son état normal et la maladie disparaît automatiquement. »
La décision de maintenir la médecine pasteurienne est prise à l’échelle mondiale, par l’OMS. Pour dominer le monde, il faut maintenir la soumission. Appliquer la théorie de Pasteur maintient une pratique de médecine de maladie et entretient chez nous des sentiments:
- d’impuissance vis-à-vis des forces extérieures
- de dépendance vis-à-vis des autorités extérieures
- de victimisation par rapport à des gens et des événements extérieurs à nous.
Ils sont nombreux les partisans de Béchamp. L’histoire en a connu plusieurs, qui ont tenté de faire valoir sa théorie. Ils ont tous été condamnés au silence, soit par la persuasion, soit par la force.
L’employeur est celui qui paie le salaire de quelqu’un, directement ou indirectement. Le patient fait vivre le système médical. Il est l’employeur. Le médecin ou le thérapeute est l’employé. Nous sommes l’employeur des autorités médicales et politiques.
Notre employé :
- Décide sans nous consulter,
- Dépense sans compter,
- Nous vole notre argent contre notre volonté,
- Fait des lois pour nous contrôler,
- Installe des systèmes électroniques pour nous surveiller,
- Paie des juges pour nous condamner,
- Paie des policiers pour nous cueillir,
- Paie des soldats pour nous mater,
- Vote son propre salaire, ses augmentations et sa pension.
Et tout cela avec notre propre argent. Jamais nous ne tolérerions pareil désordre dans notre entreprise. C’est cependant ce que nous faisons pour une entreprise plus grande : la santé et la société.
Capitalisme, socialisme, communisme, islamisme, libéralisme sont tous des régimes identiques. Seule l’étiquette varie. Tous ces régimes ont un dénominateur commun: le contrôle de la majorité par une minorité. Le pouvoir entre les mains d’une bande de privilégiés qui font passer les lois nécessaires au maintien de leurs privilèges.
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